Du bon usage de l'analyse

Là, je fais dans le généreux et l'abondant !

Je vous ai déjà dit et répété que certaines analyses ne servaient strictement à rien ; je vais plus loin, je vous montre l'exemple même du document stérile et inutile.

Pour ceux ( j'espère qu'ils seront très peu nombreux) qui ont la capacité de tirer un quelquonque enseignement des documents ci-inclus, je les invite à m'en faire part.

J'exclus d'emblée les buraucrates, les boutonneux dépressifs et les inconditionnels de la statistique.

Je vous avais déjà parlé des "miracles informatiques" qui permettent sans effort d' imprimer un rapport indigeste.

Je vous en ai fait un, un ordinaire d'ailleurs, qui n'est ni plus ni moins soporifique que ses congénères, un normal en somme qui s'est lui même généré en quelques secondes à partir d'un grand livre sans que j'ai à fournir un seul complément d'information.

Si ça, ce n'est pas de l' analyse spontannée, j'ai perdu mon latin comptable !

Je viens de vous parler des logiciels colorés ( je vous ai fait part de tout le bien que j'en pense), voici un exemple de logiciel documenté.

Utilisé ainsi, il ne présente aucun intérêt MAIS ...une fois paramétré pour éditer ce qui vous concerne réellement et seulement ça, il perd de la lourdeur et de l'opacité pour s'avérer pratique et utile.

Et oui, c'est à vous de choisir ce qui vous est utile, ce que vous êtes à même de comprendre, d'interpréter et d'utiliser !!

Quand je vous disais qu'avant d'établir des ratios, il était impératif de les choisir, il m'a été répondu "qu'abondance de biens ne nuit pas".

Je vous laisse méditer sur l'abondance....

OUUUUFFFFF.............................................................!!!

Comments

[Stéphane]

C'est toujours une histoire de juste mesure.



Les ratios permettent d'avoir une vision rapide sur l'entreprise en un simple coup d'oeil et de comprendre rapidement l'évolution de certains postes. Il faut donc les choisir avec précaution et parcimonie en fonction de son industrie et de ses besoins.